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Les P'tits fifres
montbrisonnais
une
société gymnique et musicale
créée en 1907
Aux
origines du sport montbrisonnais
Pour évoquer
l'histoire du sport à Montbrison, il nous paraît
intéressant de parler d'une société aujourd'hui
disparue, celle des P'tits fifres montbrisonnais. Les P.F.M.
ont eu en effet un rôle important pour promouvoir le sport
dans notre ville.
Nous évoquerons donc succinctement :
- Dans quel contexte (national et local) cette formation est
née ;
- Ses premiers pas, ses objectifs, ses activités, son
demi-siècle d'existence ;
- Les causes de sa disparition dans les années 1950.
Tour
d'horizon au début du 20e siècle
au moment où apparaissent les P.F.M.
Sur
le plan des sports :
- Les divers sports
"modernes" apparus au cours du XIXe
siècle s'organisent (création de fédérations
sportives) et se codifient progressivement.
- L'apport des Anglo-Saxons a
été essentiel. Le basket né à
Springfiel (Massachussets) est introduit en France par les
troupes américaines
Le football et le rugby apparaissent
en Angleterre vers 1850.
Ces nouvelles activités sont
à rattacher :
- à la guerre : courses,
sauts, lancer de javelot
; jeu par équipe (simulacre
de bataille, rappel des tournois
) ; violence - hélas
- parfois bien présente
- aux jeux anciens : les quilles,
la soule, le jeu de mail, le jeu de paume
et aux jeux
populaires des fêtes patronales (jeux d'équilibre,
grimper au mât de cocagne
) et aux
métiers (course aux tonneaux, course des garçons
de café, porteur des halles
).
Elles sont surtout réservées aux privilégiés
: bourgeois, rentiers
dont elles diversifient les loisirs
traditionnels (la chasse...). Il y a peu de loisirs pour les
gens ordinaires.
L'olympisme est naissant :
- 1896, premiers jeux olympiques à Athènes.
- 1900 jeux à Paris.
Dans l'histoire du pays :
Sur le plan politique : deux
grandes questions agitent l'opinion :
- Situation conflictuelle entre l'Eglise de France et l'Etat
(loi de Séparation en 1905) ; la droite, plutôt
catholique s'oppose à la gauche radicale anticléricale.
- Préparation de la prochaine guerre pour recouvrer
l'Alsace-Lorraine. Beaucoup ont les yeux fixés sur
la ligne bleue des Vosges d'où un patriotisme
exacerbé.
Sur le plan religieux c'est époque
du catholicisme social avec une multiplication des uvres,
cercles, patronages
A Montbrison :
On retrouve sur le plan local la même situation :
La ville a une municipalité
modérée mais une société de libre-pensée
se crée en 1902 et une fraction de la bourgeoisie s'affiche
radicale et anticléricale. Des sociétés
mutualistes se fractionnent pour des questions politiques
(l'Union montbrisonnaise constituée par une
scission des Ouvriers réunis).
Les paroisses (Notre-Dame et
Saint-Pierre) ont des vicaires jeunes et actifs. L'action
catholique se développe sous forme d'uvres :
patronages, cercles d'études, jardins ouvriers, Petits
bergers du Forez etc. Des salles d'uvres sont bâties
: salle Saint-Pierre, salle des uvres de Notre-Dame
devenue le Lux puis le Rex
Naissance
et début des P'tits fifres :
En 1907, la société est créée par
un vicaire de Saint-Pierre, l'abbé Seignol. Au début,
il s'agit d'un simple patronage (sorte de centre de loisirs
de l'époque) du jeudi.
L'objectif des P'tits fifres est d'encadrer la jeunesse (les garçons) pour éduquer
et rechristianiser. C'est une uvre avec une finalité
sociale et religieuse. Pour Dieu et la patrie.
(collection particulière)
Abbé Pierre Marie Laurent Seignol
(né le 6 sept. 1870 à St-Priest-la-Prugne, Loire
; + à Lyon le 18 février 1935)
ordonné le 30 mai 1896 ; vicaire à St-Haon-le-Vieux
1896-1898,
vicaire
à Saint-Pierre de Montbrison, Loire ; curé de
Pouilly-le-Feurs, Loire;
curé de St-François-Régis à St-Etienne,
Loire.
Nous
relevons :
Des aspects patriotiques et militaires - il faut se préparer à la guerre, être
fort et discipliné :
- Le nom : le fifre, petite flûte guerrière ;
- L'uniforme (béret blanc brodé d'une anémone,
chemise blanche, ruban vert, ceinture noire, bas noirs) ;
- Le drapeau, la hiérarchie, la marche au pas, les chants
(le chant des patronages)
Le tir ------------------------------------- --------------------------------Et
l'escrime
--------------------------
Des aspects religieux - il faut
former des chrétiens militants :
- Prière avant les répétitions ;
- Participation aux offices, aux processions de fête-Dieu,
aux fêtes paroissiales ;
culte de Jeanne d'Arc (béatifiée en 1909, canonisée
en 1920).
Jeanne d'Arc
Des activités de plus en plus diversifiées :
- Fanfare avec tambours, trompettes, clairons et fifres (qui
disparaissent assez vite) ;
- Gymnastique avec des moniteurs compétents (certains
sont salariés) ;
- Escrime, tir et préparation militaire (avant 1914)
;
- Athlétisme sur des terrains de sport de fortune ;
- Sports collectifs : football, basket
- Théâtre, chorale
Recrutement :
Les effectifs sont importants (70 en 1909, 200 avant la Grande
Guerre) ;
Le recrutement de plus en plus large : d'abord la paroisse Saint-Pierre,
puis Montbrison enfin toute l'agglomération (Savigneux,
Moingt).
La bonne société montbrisonnaise patronne les
P'tits fifres (première sortie à Grézieux-le-Fromental
avec goûter chez les de Vazelhes
) mais il y a une
ouverture large aux classes populaires.
Financement : pas de subvention mais des membres honoraires
et le soutien financier des paroisses (c'est une uvre).
Un
demi-siècle d'existence
1907-1914 : rapide développement (200 membres en 1913), multiplication des activités musicales,
sportives et culturelles. C'est "l'âge d'or",
le temps de tous les enthousiasmes avec fêtes, concours,
représentations théâtrales
P'tit zouave
chez les P'tits Fifres
avant la Grande Guerre
Pendant
la Grande Guerre la société est décimée
: 30 morts parmi les P'tits fifres et leurs dirigeants. Un monument
aux morts installé dans la salle Saint-Pierre (aujourd'hui
dans les greniers de l'école Saint-Aubrin) rappelle cette
tragédie. Il faudrait le restaurer et le remettre en
place dans un lieu approprié.
De
1919 à 1939, dans la durée les P'tits fifres
contribuent à populariser le sport dans la région
de Montbrison. Cependant des secteurs d'activités s'émancipent
progressivement. Des clubs autonomes se constituent (basket,
foot). A la veille de la Seconde Guerre mondiale, il reste essentiellement
la gymnastique et la musique.
Deux
P'tits fitres en 1922
Photo extraite de l'ouvrage
de Jean Soleillant :
"Montbrison autrefois, souvenirs"
(Cahier de Village de Forez, n° 2, octobre 2004)
1914 : un
P'tit fifre, à droite l'insigne sur le ruban vert porté
en bandoulière
(collection
particulière)
La
deuxième épreuve est la guerre
de 1939-1945. La salle Saint-Pierre est occupée
par les Allemands, les installations saccagées.
Pour la période 1936-1944 voir l'article de Village de Forez, n° 130 d'octobre 2019 : Les Petits fifres montbrisonnais avant et pendant la seconde guerre mondiale. (étude d'un cahier de comptes de l'association)
En 1946 s'effectue une reprise,
une grande fête musicale et gymnique a lieu pour le 40e
anniversaire (en1947) mais des difficultés subsistent
: problème du recrutement des moniteurs notamment
La disparition définitive intervient au cours des années 1950.
Le
21 décembre 1962, après une dizaine d'années
de sommeil, l'association Les P'tits fifres
montbrisonnais change son titre et devient : Association
Jeunesse et Vacances, avec comme siège social
: 6, rue du Cloître. Jeunesse et
Vacances, proche de la paroisse Notre-Dame, a pour mission
essentielle de gérer une colonie de vacances pour les
enfants du Montbrisonnais.
La
disparition des petits fifres
Essayons de comprendre pourquoi :
Dans les premiers
temps, il y a une réelle adaptation à la situation du moment avec, même, des aspects
assez "modernes" :
Une vision globale du jeune : de
l'enfance à l'âge adulte.
Plus qu'une activité c'est un style de vie qui est proposé
: honnêteté, discipline, respect de son corps,
goût de l'effort, générosité (bénévolat
d'animateurs)
L'épanouissement personnel (gymnastique, théâtre
)
et le souci du groupe vont de pair. Il y a le sentiment très
fort d'appartenir à une fanfare, une équipe, presque
à une famille. Les P'tits fifres ont eu finalement une
histoire très collective.
Des innovations : les sports nouveaux
sont pratiqués (basket
) ; les premières
séances de cinéma ont lieu salle Saint-Pierre
; la presse est utilisée (bulletins paroissiaux
).
Et même quelques préoccupations
sociales :
- Une approche des loisirs populaires (sortie récréative de 3 jours au Puy-en-Velay)
alors qu'on est encore loin des congés payés.
- Un peu d'esprit
mutualiste : une caisse d'entraide, une aide morale et
matérielle aux jeunes fifres devenus soldats.
- Un mélange de classes sociales : fils de commerçants aisés et petites gens des
faubourgs sont mêlés, même si les dirigeants
sont plutôt aisés.
- Un financement sans subvention mais "assisté"
(cotisation des membres honoraires, fêtes
).
Ensuite une
certaine sclérose qui s'ajoute aux difficultés
dues aux deux grandes guerres :
- Problèmes matériels et techniques : état
de la salle Saint-Pierre, recrutement de l'encadrement (moniteurs
qualifiés)
- Le cadre paroissial se trouve inadapté pour un club
sportif : ouverture à tous pour une pratique sportive
et non pas forcément adhésion aux objectifs généraux
d'un mouvement à l'origine religieux et patriotique.
- De nouvelles formes d'action catholique sont privilégiées
par l'Eglise (J.O.C, J.A.C.).
Pour sauver les P'tits fifres il
aurait fallu une mutation profonde, une sécularisation
telle celle réussie par le cinéma Rex (la
salle des uvres de Notre-Dame) ou par les Jardins ouvriers
de Montbrison (société issue des cercles d'études
de Notre-Dame).
Nés au temps des "patros", du cinéma
muet et des grandes processions de fête-Dieu, les fifres
disparaissent avec l'essor de l'automobile et de la T.S.F.
Certes, depuis
lors renaît périodiquement la clique - qui, en
son temps, avait hérité des instruments de la
société - tandis que l'Entente gymnique de Montbrison-Savigneux
perpétue une certaine tradition.
Les archives,
le drapeau, les fanions, les médailles semblent perdus.
Le temps des P'tits fifres est bien passé. Ils ne restent
présents que dans les souvenirs embellis de quelques
vieux Montbrisonnais.
Il n'empêche
que, dans leur temps et avec leur style, les P'tits
fifres Montbrisonnais ont largement contribué
à populariser le sport à Montbrison.
Joseph
Barou
(Causerie pour
le 5e Printemps de l'histoire, Centre Social de Montbrison,
samedi 2 avril 2005)
(archives de la Diana)
Les nombreuses récompenses rapportées par les
P'tits fifres
1907-1914 : 24 médailles, quatre palmettes
1914-1938 : 32 médailles, une
palmette et une couronne de lauriers
Hommage
aux vaillants P'tits fifres montbrisonnais
Il
y a 50 ans, le monument aux morts des " P'tits fifres
" était fixé au mur de la salle Saint-Pierre,
rue du Collège. Depuis il a été déposé.
Il dort maintenant dans les locaux de l'école Saint-Aubrin
de Montbrison. Et c'est bien regrettable. Car il rappelle
une grande histoire : celle de la société des
P'tits fifres Montbrisonnais fondée par l'abbé
Seignol en 1907. Cette société sportive, musicale
et culturelle a marqué Montbrison. Et surtout, il s'agit
du mémorial du sacrifice des P'tits fifres, morts à
la Grande Guerre.
Un
monument oublié
Cette plaque
de marbre, en parfait état, portent 32 noms : deux
officiers, un sous-officier, deux caporaux et 27 soldats tués
avec l'inscription : " Ils sont tombés face au
devoir, souvenons-nous ". Presque tous sont de Montbrison,
de Moingt ou Savigneux. Avec deux exceptions notables : l'abbé Peyrard et le lieutenant de
Bonnand, des Montbrisonnais d'adoption.
Claudius Peyrard était
né le 23 septembre 1887 à Firminy. Après
des études au petit séminaire de Verrières puis à Francheville, il
effectue son service militaire. Ordonné prêtre,
il est vicaire à Chavanay avant de venir à Saint-Pierre.
A Montbrison, il prend en charge la jeune société
des P'tits Fifres. Mobilisé
en 1914 comme brancardier au 16e R.I., le jeune vicaire est
tué au front le 1er octobre 1916,
à l'âge de 29 ans.
Henri
Joseph Marie Camille de Bonnand-Montaret, était,
lui, né à Montaret,
dans Allier, le 19
mars 1895. Arrière-petit-fils du publiciste Montalembert, petit-fils de Camille
de Meaux (1830-1907) qui fut député de
la Loire et ministre. Il a d'abord
comme précepteur l'abbé Seignol - le fondateur des p'tits fifres - avant d'étudier
au petit séminaire de Montbrison,
établissement voisin de l'hôtel particulier de
la famille de Meaux, dans le quartier de Saint-Pierre.
C'est à Montbrison, bien sûr, qu'il devient P'tit
fifre.
En 1910-1911,
il passe par le collège des Minimes à Lyon avant d'aller à Paris à l'Institut
catholique et à la Sorbonne.
En 1913, il préside l'Association
des étudiants de l'Institut catholique. Il a 18 ans.
En 1914, il obtient une licence
d'histoire. Mais la guerre brise ce bel élan. Engagé
volontaire le 22 août 1914,
il sert comme sous-lieutenant au 2e bataillon de chasseurs
à pied. Il est tué le 5
mai 1917 au Chemin des Dames,
à 22 ans. La devise de sa famille était : Plus
d'honneur que d'honneurs
Deux jeunes
hommes : un vicaire plein de dynamisme, un aristocrate pétri
d'idéal
Ils furent fauchés tout comme
les fils des artisans et des boutiquiers de Montbrison, eux
aussi, P'tits Fifres et, eux aussi, héros malgré
eux.. Tous furent les victimes d'une immense tragédie.
L'héritage
des P'tits fifres Montbrisonnais
Partis à
la guerre, la fleur au fusil, les Fifres, Tambours, Clairons
et Gymnastes de l'abbé Seignol tombent en foule sur les champs de bataille. La Grande Guerre achevée, la société
se remet pourtant de l'épreuve. Elle brille encore
pendant plusieurs décennies. Les temps changent. Nés
à l'époque des patronages, du cinéma
muet et des belles processions de fête-Dieu, la société
disparaît dans les années cinquante. Mais avant,
elle produit des rameaux qui sont à l'origine de plusieurs
importantes associations sportives bien vivantes : Basket
club montbrisonnais, Football
club montbrisonnais
Vraiment, le
monument des P'tits fifres mérite une meilleure place.
Trouvera-t-on à Montbrison un mur où pourront
figurer les noms de ces jeunes musiciens et sportifs sacrifiés
il y presque cent ans ? (1)
Joseph
Barou
Pour
en savoir plus : J. Barou, Louis Devin, Marguerite
et Victor Fournier, Claude Latta, "Au
temps des P'tits fifres montbrisonnais", Village
de Forez, 1997.
[La
Gazette du 26 octobre 2007]
(1)
Aujourd'hui c'est chose faite, le mémorial des P'tits
fifres est installé au jardin d'Allard de Montbrison
(voir ci-dessous).
*
* *
Inauguration
de la salle Saint-Pierre
siège des P'tits fifres montbrisonnais
(29 mars 1908)
L'Avenir
Montbrisonnais du 5
avril 1908
*
* *
Les Mystères de Noël joués dans la salle
Saint-Pierre
avant
la Grande Guerre ont connu un important succès
et ont donné lieu à l'édition d'une série
de cartes postales
Source : fonds Fayard, archives municipales
de Montbrison
*
* *
Le mémorial
des P'tits fifres montbrisonnais
(cliché J. Barou)
Monument aux morts des P'tits fifres montbrisonnais
exposé au musée d'Allard en mai-juin 2010, aujourd'hui
au jardin d'Allard
Détails
(cliché J. Barou)
(cliché J. Barou)
Journal
du Montbrison du
8 novembre 1924
Journal
du Montbrison du
16 novembre 1924
Mémorial
des P'tits fifres montbrisonnais installé au jardin
d'Allard
et inauguré le 11 septembre 2012
après la cérémonie officielle aux monuments
aux morts
(cliché J. Barou)
Extrait de Vivre à Montbrison Moingt,
n° 19, janvier 2013
*
*
*
Album-souvenir
Source : fonds Fayard,
archives municipales de Montbrison
P'tits fifres montbrisonnais juchés sur le plateau d'un camion,
au premier plan un tambour et des cyclistes (date ?)
Source : fonds Fayard, archives municipales
de Montbrison
Les
P'tits fifres autour de leur drapeau dans la cour de l'école
Saint-Aubrin
Les
P'tits fifres montbrisonnais rassemblés
dans la cour de l'école Saint-Aubrin
(avant 1914)
Les petits gymnastes
des premières années
L'équipe
de football
des P'tits fifres en 1911
(collection
particulière)
Grande
fête gymnique
à
Montbrison
Démonstration
de gymnastique
place Bouvier
à Montbrison
(collection particulière)
Les p'tits fifres dans
la cour de l'école Saint-Aubrin après la guerre
de 1914-1918
(on remarquera la cloche ébréchée au-dessus
du groupe ; elle avait été brisée en sonnant
pour fêter l'armistice le 11 novembre 1918)
(collection
particulière)
1928
La
société réunie devant l'école Notre-Dame
(collection
particulière)
La
société réunie devant l'école Notre-Dame
(collection
particulière)
La
société réunie devant l'école Notre-Dame
(années 30)
(collection particulière)
40e
anniversaire de la fondation
Diplôme obtenu en 1950 par un Petit fifre au concours de
Sury-le-Comtal
(communiqué
par M. Jean Damon)
*
*
*
Section féminine des P'tits fifres pour la gymnastique créée en 1938
Des jeunes filles membres des P'tits
fifres montbrisonnais
lors d'une sortie le 20 juillet 1941 (collection particulière)
*
*
*
Baket Club Montbrisonnais
Le
BCM est l'un des héritiers
des
P'tits fifres montbrisonnais
Entrée
du stade de basket
Jean-Pierre-Cherblanc
de MONTBRISON
*
*
*
BCM
Public, dirigeants, joueurs... (années 59-62)
Photos de Marguerite Fournier-Néel pour la presse locale
sélectionnées et scannées par Robert Landon (archives de La Diana)
Equipes
1960
1961
1962
Phases de jeu
*
*
*
Les
SAM, autre héritier
des
P'tits fifres montbrisonnais
Des athlètes des
SAM (Sports athlétiques montbrisonnais)
presse locale du 14 mai 1957, cliché Marguerite Fournier
Textes
en ligne :
Les
débuts des P'tits fifres montbrisonnais
(11 p., format pdf)
Mystères
de Noël, spectacle donné dans la salle Saint-Pierre
(1 p., format pdf)
*
* *
Exposition
Les
P'tits Fifres montbrisonnais (1907-1957)
novembre 2012 au centre musical Pierre-Boulez
*
* *
Documents
Statuts
de la société déposés le 18 janvier
1910
à
la sous-préfecture de Montbrison
1911
1912
(extrait
de l'almanach paroissial de Saint-Pierre de 1913)
Voir
aussi
les pages suivantes :
Publications
:
Joseph Barou, Louis Devin, Marguerite
et Victor Fournier, Claude Latta :
Le temps des P'tits Fifres
André
Guillot :
Le sport à Montbrison autrefois
Ces
cahiers de Village de Forez
sont disponibles au Centre Socialde Montbrison,
13, place Pasteur
42600 MONTBRISON
tél. 04-77-96-09-43
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à jour le 3 octobre 2018 |
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