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Couzan

Commune de Sail-sous-Couzan (42)

forteresse médiévale

 

Guillaume Revel

(XVe siècle)

Couzan vers 1450
(d'après l'Armorial de Guillaume Revel)


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Armes des Damas de Couzan
(Armorial de Guillaume Revel)

 

 

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Le Guide du Forez

(1930)


(dessin de couverture
d'Emma Thiollier)


"Les ruines du château de Couzan
sont très remarquables,
il faut les voir sous tous leurs aspects.
Ce château, qui a joué
un rôle assez important
dans l'histoire du Forez,
fut du XIe aau XVe siècle,
la propriété de la famille de Damas.
Il appattint ensuite à la maison de Lévis,
puis aux Luzy-Pélissac.
Il est possédé, aujourd'hui [avant 1931],
par M. Thy de Milly.
Les murs d'enceinte et les tours
sont parfaitement conservéz ;
la chapelle Saint-Saturnin est romane.
Le château proprement dit
s'élève au centre,
sur un rocher taillé à pic."

 

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Guy Chastel

célèbre Couzan


(1934)

"Couzan est fier.

La soufflure d'où jaillit son cône éruptif, a projeté, semble-t-il,
par une même violence,
le rempart en élan qui pointe
à son sommet.


Regardez-le
des rives du Lignon qui court, ensauvagé, vers la plaine confuse, chercher son héros et son poète !
Nu, chenu, caverneux, déguenillé comme un mendiant, simple écueil ébréché sur le passage des vents, perchoir pour les oiseaux de proie, un des pans héroïques
a pu prendre figure de capucin devant son prie-Dieu,
ses murs descendre en avalanche
sur les carrés de choux,
ce fossile atteste une force mâle,
et qui parle.
Il y a, dans la tenue inflexible
de son donjon ;
il y a, dans tout ce qui n'a voulu céder ni aux hommes
ni au temps, une puissance lyrique
et une grandeur propice
à la méditation.

Couzan fut le siège d'une baronnie, la première en Forez.

Sur le linteau d'une porte,
au nord-est, persiste un écusson. Insigne d'une époque
où point n'était besoin
de surcharger ses armes,
cette simple croix ancrée
que Godefroy de Bouillon aurait,
de son doingt, tracé avec du sang
sur l'écu d'n croisé,
dit le nom de Damas.

C'est un vieux nom de France
et c'est un vieux nom forézien.

Autour d'une forteresse probablement romaine, se sont greffées les autres fortifications : le château cmportait, autour d'une citadelle que domine le beau donjon du XIIIe siècle, trois enceintes. A l'extrémité du rempart, s'élève encore une chapelle romane, dédiée à saint Saturnin, où l'on célèbre la messe, le 8 septembre de chaque année.

Il est question pour la première fois de Couzan dans un plaid de justice de 1110. Le château est déjà
aux mains des Damas
qui deviennent bientôt
les Damas de Couzan.
Il passe ensuite aux familles de Lévis, de saint-Priest, de Luzy-Pelissac
et de Thy de Milly.

En 1932, son dernier possesseur l'ayant offert à la Diana, celle-ci en est devenue propriétaire et y a fait opérer les travaux de consolidation qui en assurent la pérennité, comme elle a facilité les voies d'accès qui permettent aux voitures légères d'aborder le château.

Elle a tenu à honneur de conserver debout et de maintenir en terre forézienne le donjon de Couzan, qui est un haut lieu de notre pays, comme elle conserve et maintient la chapelle de Baffie et le château de la Bastie d'Urfé, berceau de l'Astrée."

 

Avant-propos de Guy Chastel
pour
Le château de Couzan,
22 phototypies publiées
par la Diana
,
Montbrison, 1934

 

 

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Couzan

Ecartelé 1 et 4 Lévis-Couzan
2 et 3 Luzy-Couzan
et sur le tout Damas-Couzan

(Dessin de Louis-Pierre Gras)

 

 

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En visite à Couzan

avec Louis-Pierre Gras

(1864)

 

En quittant le village de Sail,
par la route de Chalmazel,
on trouve à droite un petit sentier
qui escalade, on trouve à droite
un petit sentier qui escalade
la montagne et conduit
aux ruines de Couzan.
Le chemin est montant, sablonneux, malaisé, tantôt bordé par des haies
de buissons desséchés
qui encadrent un petit champ
de seigle, tantôt s'effaçant
sous une pelouse de gazon ras
et jauni. Une croix s'élève à mi-côte.
A chaque pas, les pierres tombées
des vieilles murailles roulent
sous les pieds du voyageur,
et c'est ainsi que l'une après l'autre
elles descendent dans la vallée,
où le paysan construit sa cabane
avec les débris du manoir
de ses anciens seigneurs.

Nous sommes arrivés.
Voici la chapelle, placée,
pour la commodité
des vassaux sans doute,
en dehors de l'enceinte du château.

Cette chapelle, sous le vocable
de St-Saturnin, appartient au style roman et doit dater
du Xe ou du XIe siècle.
Elle était autrefois
beaucoup plus grande qu'aujourd'hui,
mais une partie ayant été détruite
au XVe siècle, on a trouvé
celle qui restait suffisante et l'on a muré
le grand arc de la nef en y laissant
une porte carrée.
C'est aussi de cette époque
de réparations que date
la petite chapelle gothique
que l'on voit à droite en entrant. L'intérieur est dégradé, triste et nu ; au fond, un autel en noyer,
lequel n'est qu'un simple coffre
où un fermier conserve sa provision de noix, supporte une statuette
de la Vierge couronnée
de fleurs fanées
et deux vieux chandeliers
en bois chancelants,
et inclinés sur leur base
comme la tour de Pise.
Des débris d'ex-voto en cire
gisent à terre. Ce petit sanctuaire
était anciennement
le but d'un pèlerinage, et je me rappelle avoir vu une paysanne
faisant embrasser à son enfant
le visage noirci et mutilé
de cette pauvre Madone.

Devant la chapelle,
sont entassés des troncs d'arbres
que l'on est en train de scier.
Assis sur un de ces arbres couverts de lichen et de mousse,
j'embrasse d'un coup d'œil l'ensemble
des ruines
qui se profilent nettement sur le ciel.

A ma gauche est une ferme
dont les murs semblent contemporains
du vieux manoir ; devant moi,
au second plan, l'enceinte extérieure échelonne
sur un talus ses tours découronnées,
puis en arrière se dresse la citadelle
avec sa grosse tour.
Avant d'entrer dans le château,
j'ai voulu en faire le tour […]

Le château de Couzan,
dont la description et l'histoire demandent un volume entier,
était une véritable petite ville
avec ses places et ses rues
où se réfugiaient,
en temps de guerre,
les vassaux de son mandement.
Il se divise en deux parties :
la citadelle bâtie sur le roc,
au sommet de la montagne,
et l'enceinte extérieure
qui défend l'abord du château
du côté du nord.
Celle-ci se compose
de grosses tours reliées
par une épaisse muraille crénelée.
Elle forme ainsi trois côtés
d'un carré irrégulier
dont la façade de la citadelle
est le quatrième.
On y voit peu d'ouvertures ;
j'y ai remarqué les supports
d'un balcon d'où la vue
devait être magnifique.
Cette enceinte renfermait
les écuries, les cuisines,
les logements des valets
et de la garnison.
A droite, en entrant, est un corps
de bâtiments
dont une partie a conservé
sa toiture ; des ceps de vigne grimpent
aux murailles
et en dissimulent les lézardes
sous leurs pampres verts.
Une porte, surmontée de l'écusson
des Damas, donne accès
dans l'autre partie
dont le sol défoncé
laisse apercevoir des caves remplies
de décombres.
Nous y avons remarqué
deux cheminées suspendues
en l'air, noires encore de suie
et déjà envahies
par les plantes des ruines.
Dans la cheminée inférieure sont percés deux petits fours très étroits […]

Tout autour de nous
sont
des masses de pierres,
des pans de murailles informes
couvertes de lierre ;
l'herbe est touffue, des noisetiers
et d'autres arbrisseaux croissent pêle-mêle avec les églantiers…

Voilà le grand puits
qui ne tarit jamais
et qui descend, dit-on, jusqu'au lit
du Lignon : trois cents mètres
de profondeur !
Ce puits date du XVIe siècle ;
en écartant les chélidoines
et les fougères qui l'entourent
et en tapissent l'intérieur
comme une corbeille de verdure,
on voit, sculpté sur la pierre,
un grand écusson écartelé
de Damas et de Levis
avec le blason en abîme
des Lavieu-Feugerolles […]


Près de ce puits,
est une seconde porte d'entrée nommée porte Saint-Georges […]

Grimpons maintenant à la citadelle.
On y pénètre par un guichet voûté et étroit qui, en cas de défense, pouvait être fermé
par d'énormes grilles de fer.
La façade, tournée au nord-est, paraît d'abord très irrégulières,
mais en inspectant les lieux
et en reconstruisant par la pensée
les murs écroulés, on peut aisément
se figurer les dispositions symétriques
de la construction primitive.
Au milieu, s'élève une grosse tour
à plusieurs étages ;
une muraille crénelée et percée
de quelques croisées la réunit
de chaque côté
à un grand donjon carré.
Les murs de la citadelle
sont extraordinairement épais ;
le lierre les enveloppe
de ses longs rameaux ;
les oiseaux de proie bâtissent
leurs nids dans les trous
de cette maçonnerie cyclopéenne
que ne peuvent ébranler la foudre
et les orages.
C'est vraiment une chose effrayante, qui serre le cœur
et donne le vertige,
d'entendre le vent mugir
avec fureur en se heurtant
depuis mille ans,
et toujours en vain,
à cette masse imposante
que les hommes ont placée là
comme un défi jeté aux éléments
[...]

Quelques auteurs ont écrit
que l'emplacement du château
de Couzan fut, à l'époque romaine,
occupé par une forteresse.
La supposition est toute gratuite,
mais le nom latin de Sail
et les antiquités romaines
qui y ont été découvertes,
la rendent assez vraisemblable.
Suivant la tradition, les Sarrazins
assiégèrent, au commencement
du VIIIe siècle,
le château
de Couzan
dans lequel s'étaient retirés
les habitants de Boën
et des campagnes voisines.
Mais bientôt, pressés par la famine,
les assiégés allaient être forcés
de se rendre, lorsque leur chef
fit jeter dans le camp des ennemis
le seul pain qui restait
à ses soldats affamés.
Les Sarrazins, croyant la place abondamment pourvue
de provisions, l'abandonnèrent
pour des conquêtes plus faciles.
Est-il besoin d'ajouter
que cette légende, renouvelée
de toutes les histoires de sièges célèbres,
ne mérite aucune créance ?

Le premier acte où il soit fait mention
de Couzan est une charte du cartulaire
de Savigny,
du XIIe siècle. C'est un plaid de justice tenu en présence
d'Hugues Dalmace au château
"q
uod vocatur de Cosant."
Dès cette époque, les Damas
en étaient seigneurs.
Le dernier baron de cette race turbulente
et batailleuse
fut Guy V de Couzan, mort en 1423,
et dont la sœur Alix apporta
la baronnie en dot à son mari
Eustache de Levis-Florensac.
Deux siècles plus tard,
Louis de Saint-Priest,
seigneur de Saint-Etienne,
devient baron de Couzan
par son mariage
avec Marguerite de Levis.
Ses héritiers vendirent Couzan
à Jean de Luzy-Pelissac.

Les ruines appartiennent aujourd'hui [1864] à Mme Thy de Milly.


(Louis-Pierre Gras, Voyage à Pierre-sur-Haute et sur les bords du Lignon, Chevalier, libraire-éditeur, Saint-Etienne, 1864)

 

 

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Couzan
dans

le Forez pittoresque
et monumental

dessin de Félix Thiollier

 

dessin de Félix Thiollier

 

dessin de H. Gonnard

 

dessin de Félix Thiollier

 

dessin de Félix Thiollier

 

 

 

 

 

 

 

 

Couzan

et ses légendes...

 

 

Le château des Maures


Le prince se marie
A l'âge de vingt ans.

Prit une petite femme
Qui n'avait que quinze ans

Le beau soir de ses noces
Reçoit le mandement !

Fallait partir en guerre
Rejoindre l'arrière-ban !

"Que ferai-je de mon épouse,
De ma petite épousée ?

- Mettez-la chez votre père,
Il vous la gardera.
"

Ne fut pas à la guerre,
Les Maures ont passé.

Les Maures ont passé,
Jeannette l'ont emmenée.

Au bout de la septième [année]
Il en est revenu.

Il s'en fut chez son père,
Frappe à la porte trois fois.

Son père vient lui ouvrir ;
"Bonjour, mon père, bonjour !

Où ce donc qu'est Jeannette,
Qu'elle ne vient pas m'ouvrir ?

- Les Maures ont passé,
Jeannette l'ont emmenée !

- Comment pourrais-je faire
Pour lui aller parler !

- Quittez votre habit rouge,
Habillez-vous en pauvre.

L'aumône vous demanderez,
L'aumône vous demanderez !
"

En son chemin rencontre
De vieilles lavandières

Qui lavaient des drapeaux,
Qui lavaient des drapeaux :

"Dites-moi, lavandières,
Le nom de ce château ?

- C'est le château des Maures
Les Sarrazins y sont !

- Dites-moi lavandières,
Le nom de la fille qui y est ?

- Il s'appelle Jeannette,
Mais elle n'est pas d'ici.

- Dites-moi, vieille femme
Comment pourrai parler ?

- Faut demander l'aumône,
L'aumône s'il vous plaît.
"

Il frappe donc à la porte,
Il donne trois petits coups :

"Faites-moi donc l'aumône,
L'aumône s'il vous plaît."

[Elle] Mit la main à la poche,
Un sou lui a donné !

"Cela ne suffit guère
Aux gens de ton pays.

- Comment pourrais-tu être
Un homme de mon pays ?

Car les oiseaux qui volent
Ont peine de venir.
"

En lui versant à boire,
Reconnaît son amant.

Entre en de grands discours
Parlant de leur vieux temps.

Les Maures à la fenêtre
Entendent ces discours.

Déjà les flèches volent,
Les épées sont tirées.

"Je viens chercher ma femme,
Frappez, si vous l'osez !

- Laissez-nous donc Jeannette,
Nous vous la payerons ;

Trois fois comme elle pèse
D'argent nous donnerons.

- Vous m'en donneriez le double
Que je l'emmènerai !"

S'en va à l'écurie,
Prend le cheval le plus blanc !

"Celui-là m'a emmenée,
Celui-là me retournera !
"

 

[Ancienne complainte forézienne
recueillie
par le docteur Frédéric Noëlas,
citée par M. Blanchardon,
Notre Forez légendaire,
librairie Chevalier,

Saint-Etienne, 1912 ]

 

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Couzan
poème de Valérie Laurent
en patois du canton
de Saint-Georges-en-Couzan


lu par l'auteur au cours
d'une veillée patois en 1977
au Centre social de Montbrison,
rue des Clercs

pour écouter cliquer ci-dessous

(3 min 23 s)

 

Pages spéciales

 


La Diana

 


Louis-Pierre Gras

 


Félix Thiollier et le Forez
pittoresque et monumental

 

 

 

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Ouverture

Tous les jours
en juillet et août
de 14 h 30 à 18 h 30

Accueil des groupes
et animations scolaires
toute l'année
sur rendez-vous.

Forteresse médiévale
de Couzan


42890 Sail-sous-Couzan

La Diana

Société historique
et archéologique du Forez

7 rue Florimond-Robertet

42600 Montbrison

tél. 04 77 96 01 10

 

 

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Conception : David Barou
gestion du site : Joseph Barou
questions, remarques ou suggestions :
s'adresser :
 

 

Armes des Damas de Couzan
(cliché J. B., 01-05-1994)

Un haut lieu du Forez

Couzan

Iconographie

(cliché J. B., 08-09-1996)

(cliché J. B., 01-05-1994)

(cliché J. B., 01-05-1994)

(cliché J. B., 01-05-1994)

(cliché J. B., 01-05-1994)

(cliché J. B., 01-05-1994)

Chapelle Saint-Saturnin
(cliché J. B., 10-11-1996)

(cliché J. B., 01-05-1994)

(cliché J. B., 21-11-2010)



(cliché J. B., 21-11-2010)

 

Salomon, Les châteaux historiques du Forez


Vignette tirée de Emile Salomon, Les châteaux historiques du Forez

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Couzan

Bois originaux de Mario Guichard
extraits de l'ouvrage de Guy Chastel,
Couzan
, imp. Dumas, Saint-Etienne, 1935


 

 

 

 

 

 

COUZAN

En 1932, le dernier possesseur de Couzan
l 'offre à la Diana.
En 1934, la Société historique et archéologique
du Forez publie une série de 22 phototypies
avec un avant propos de Guy Chastel.

Vue prise d'avion
Cliché Cie Aérienne Française

Côté ouest
Cliché André Durand

Côté ouest
Cliché Félix Thiollier (1885)

 

Côté sud-est
Cliché André Durand

Côté sud-ouest
Cliché Félix Thiollier (1880)

Côté est
Cliché Félix Thiollier (1884)



Château de Couzan (côté sud)
vue prise de l'intérieur de la grotte des Fées
Cliché Félix Thiollier (1884)

Côté nord-ouest
Cliché Félix Thiollier (1885)

Rempart extérieur
Cliché Noël Thiollier (1934)

Tour du rempart extérieur
Cliché Charles Martin

Côté est
Cliché Félix Thiollier (1880)

Côté nord-est
Cliché Félix Thiollier (1869)

Côté est
Cliché Félix Thiollier

Côté nord-est
Cliché Félix Thiollier (1864)

Rempart extérieur
Cliché Hélène Thiollier (1933)

Entre les deux enceintes
Cliché Félix Thiollier (1880)



Passage fortifié entre les deux enceintes
Cliché Félix Thiollier (1880)

Passage fortifié entre les deux enceintes
Cliché Félix Thiollier (1880)

Partie supérieure
Cliché Félix Thiollier (1880)

Chapelle Saint-Saturnin (XIe siècle)
Cliché Félix Thiollier (1880)


Chapelle Saint-Saturnin
Cliché Charles Martin (1932)

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Le carnet de croquis
d'
Octave de la Bâtie











Couzan 1818 à 1831

dessins d'Octave de la Bâtie

extraits de C. Rüeneuve, R. Garnier, Desssin d'Octave de la Bâtie, Roanne, 1984.



Octave de la Bâtie, Couzan
crayon, papier 36,5 X 24
(archives de la Diana, I Forez 153)



Octave de la Bâtie, Couzan, 1826
crayon, papier
(archives de la Diana)



Octave de la Bâtie, Couzan
crayon, papier
(archives de la Diana)



Octave de la Bâtie, Couzan
crayon, papier
(archives de la Diana)

Octave de la Bâtie, Couzan
(papier 19 X 12,5)

(archives de la Diana, I Forez 111)

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Le carnet de croquis de
Louis-Pierre Gras

(archives de la Diana)

Enceinte extérieure du château

Château de Couzan (route de Saint-Georges)
En bas coule le Lignon



Vue du château de Couzan prise de la chapelle

Château de Couzan

Château de Couzan (route de Saint-Georges)

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Eaux-fortes foréziennes
Henry Gonnard

 







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Couzan ! ô Couzan !



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