Entre Forez et Auvergne...
   
Pierre-sur-Haute

et les Hautes-Chaumes

Poème

Notes d'histoire

Voyage à Pierre-sur-Haute par Louis-Pierre Gras (1864)

Excursion de la Diana (1892)

Les conquérants de Pierre-sur-Haute (1904)

Cartes postales anciennes

Bibliographie

Album

Pour célébrer Pierre-sur-Haute (1 640 m), le point culminant des monts du Forez,
commençons par un poème en patois forézien de Valérie Laurent (+)
composé pour le groupe Patois Vivant de Montbrison, en novembre 1976


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La montagne est jolie
Elle te donne ce qu'elle a : ...


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La mountagni

Lo mountagni é jonto
E t'ofre se k'él o :
So breyassi, so tèro,
L'oriyon, la vyoleto,
L'égo, la regolissi.

La mountagni è bouno
Amasso se k'él o :
Jansano é ornika
E l'orèlo è l'anpoué
La bèrbo de sopïn...
Lo mountagni é doussi !


Mè o fo lo komprondre
L'èr i yé vi é bouon,
Ji de bru, ji de mè,
Ni poussyéri, ni fün.

La montagni é duro
De vé on plon ivèr !
Akoto, é se plïn
Vé l'Olo é vé Chorsïn !
O fo pè i olè
Me l'ovizè de luïn.


Si te vo la kounutre
Aton le mé d'abri,
ou de juïn ou de stombro.
Sujé ïn jor byon chlyèr
E pèr de gran modjïn
Son te préssè tout'o travèr,
Son te lassè jusko byon tèr.

Mèrcho, mounto é mounto ïnkor
De vé Rochi, de vé Gourgouon
Vé Garnio, vé Kolégni
Jusko "Pierre-sur-Haute".
D'itche te vé Chlyormon,
Te vé jusko Mouon Blan.
Mountagni, o ma mountagni !

 


La montagne


La montagne est jolie
Elle t'offre ce qu'elle a :
Sa bruyère, sa terre,
La jonquille, la violette,
L'eau, la réglisse.

La montagne est bonne
Prends ce qu'elle a :
Gentiane et arnica,
Et l'airelle et la framboise,
La barbe de sapin...
La montagne est douce !

Mais il faut la comprendre
L'air y est vif et bon,
Aucun bruit, aucun mal,
Ni poussière, ni fumée.

La montagne est dure,
Parfois en plein hiver !
Ecoute, elle se plaint
A l'Oule et à Chorsin !
Il ne faut pas y aller
Mais la regarder de loin.

Si tu veux la connaître
Attends le mois d'avril
Ou de juin ou de septembre.
Choisis un jour bien clair,
Et pars de grand matin
Sans te presser et tout à travers,
Sans te lasser jusque bien tard.

Marche, monte et monte encore !
De Roche, de Gourgon,
De Garnier, de Coleigne
Jusqu'à Pierre-sur-Haute.
De là tu vois Clermont,
Tu vois jusqu'au Mont-Blanc.
Montagne, ô ma montagne !


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Notes d'histoire

Pierre-sur-Haute à la fin du XIXe siècle


d'après Frère Maxime,
Monographie des communes de l'arrondissement de Montbrison


Altitude : 1 639 mètres.
Le nom de Pierre-sur-Haute paraît remonter au XVIIIe siècle. Antérieurement, ce sommet et tout le haut plateau étaient connus sous le nom de Chal (De Calma, chaume, terre inculte).

Ces vastes pâturages étaient déjà, à l'époque féodale, une richesse considérable. Aussi loin que l'on puisse remonter dans l'histoire, nous les voyons partagés entre le baron d'Ecotay et les comtes de Forez d'une part et les seigneurs de Cousan et de Chalmazel de l'autre.

En 1138, le comte Guy II, fondateur et bienfaiteur de la célèbre abbaye de la Bénisson-Dieu, légua à ce monastère tout le tènement de pâture s'étendant depuis la Brosse, près Sauvain en nord, jusqu'au-delà de la Pierre Bazane en midi. En 1180, Guillaume Chorcin ajouta des pâturages à cet immense territoire.

Dans le cours des siècles, la plus grande partie de la montagne appartenant à l'abbaye de la Bénisson-Dieu fit retour aux comtes de Forez.
A la Révolution, il ne restait au monastère que les pâturages de Garnier qui nourrissaient encore deux cents têtes de gros bétail.

Pierre-sur-Haute a des monuments, des terrassements considérables et insolites qui éveillent des souvenirs de guerre. Faut-il voir dans ces travaux un dernier refuge de nos pères contre les Romains, ou se rattachent-ils à la croisade contre l'Anglais envahisseur en 1357 ? Ne serait-ce pas plutôt un témoignage des incursions des Routiers à travers nos montagnes vers 1368 ? Des fouilles seules pourraient renseigner.

Un travail important, exécuté au Moyen Age sur les pentes du massif de Pierre-sur--Haute, commande l'éternelle reconnaissance des habitants de Montbrison envers l'un de nos comtes. Il s'agit du captage des eaux du ruisseau des Planches détournées de leur cours naturel vers le Lignon et amenées par une tranchée dans le lit du Vizézy.

Dans la vallée de Chorsin, il y aurait eu, d'après une note de La Mure, un château, et la tradition ajoute que là aussi existait un ermitage avec sa chapelle et un petit couvent de Bénédictins dont on ne connaît pas l'histoire.

(pour avoir ce texte en format pdf cliquer : Frère Maxime, Pierre-sur-Haute)

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Autour des Journées de la Fourme :

Histoire des Hautes Chaumes du Forez

On désigne, en Auvergne et en Forez, sous le nom de Hautes Chaumes les croupes dénudées s'étendant sur une longueur de 35 km entre Saint-Anthème et Noirétable, et dont le point culminant est Pierre-sur-Haute (1640 m).

Cette immense étendue est, en majeure partie, recouverte de bruyères dont les touffes résistantes ne craignent ni la sécheresse de l'été, ni le gel de l'hiver. Elles se couvrent, vers la mi-août, de fleurettes serrées, formant un merveilleux tapis où se fondent toutes les nuances de rosé. La gentiane, aux tiges robustes et aux belles fleurs jaunes ou bleues, l'arnica présentant les siennes comme des marguerites aux pétales d'or, l'œillet sauvage posé comme un papillon au bout de brins menus y complètent cette flore des Hautes Chaumes.

On y voit également, ça et là, des tapis d'airelles indiquant l'emplacement d'un bois ancien. Quelques arbustes égarés : saules, trembles, peupliers, bouleaux, pins aux troncs tordus par le vent, genévriers éternellement verts, rompent, de temps en temps, la monotonie du paysage sans lui enlever toutefois son caractère désertique.

Au loin apparaît le toit de chaume, ou de tuiles, d'une jasserie perdue dans l'immensité. Parfois, comme à Peygerolles, ou au Grand Genévrier, elles se présentent en enfilade, curieusement alignées comme des jeux de construction abandonnés par des enfants…

PROPRIETES SEIGNEURIALES

D'une étude publiée en 1907 par André d'Alverny, nous avons extrait des renseignements sur l'histoire de notre montagne à travers les siècles.

Les documents les plus anciens nous reportent au XIIe siècle, au temps des premiers comtes de Forez. On leur voit faire don d'une partie de la montagne aux moines de l'abbaye de la Bénisson-Dieu, notamment le bois de "Regardière" et les pâturages limités par le chemin allant des chaumes de Sauvain à Pierre Basane, en passant par la Font de l'Oulle.

Au XIVe siècle, quatre seigneuries se partagent les monts du Forez : Couzan (depuis Gensannière jusqu'au Lignon) ; Chalmazel (dont le mandement s'étendait jusqu'au versant auvergnat) ; Montherboux (très importante pour l'histoire pastorale puisqu'elle comprenait la chaume de "Coleigne" jusqu'à la cime de Pierre-sur-Haute, les bois des Olles et une partie de la forêt de Chorsin) ; Châtelneuf (au sud du rif de Chorsin, couvrant à peu près toute la montagne sur les paroisses de Saint-Bonnet et de Roche, jusqu'à la Tressaillette où commençait la seigneurie d'Ecotay).

Les droits effectifs des seigneurs se réduisirent peu à peu par l'effet "d'abénévis" ou baux à cens perpétuels. Moyennant certaines redevances, les montagnards purent faire paître leur bétail, exploiter les forêts, "faire de la terre" dans les Hautes Chaumes.

Certains de ces "abénévis" portant sur un canton de montagne limité entraînaient la jouissance en commun minutieusement réglée. Ce fut la raison d'être de petits villages formés par des loges associées.

COMMUNAUTE PASTORALE

Pendant des siècles, du Moyen Age à la Révolution, les habitants des "jacts" (aujourd'hui jasseries) se conformèrent à des engagements pris devant notaire. Tout est fixé ; le nombre de vaches, de taureaux, de pasteurs, les heures de pâture, leurs emplacements...

"Ils ne pourront sortir leur bétail des loges les uns sans les autres, avant qu'ils noient été criés par les deux pasteurs les plus âgés ou par celui qui aura le plus grand nombre de bétail...

Les pasteurs ne devront porter ni gros bâton ni masse, seulement une longue houssine (baguette flexible)... S'il est nécessaire de faire un parc pour coucher le bétail dehors et pour bonifier la montagne, chacun fournira les claies à proportion du bétail qu'il aura..." (extrait d'un acte passé le 18 mai 1685 par devant Annet Desmier, notaire royal au bourg de Sauvain, entre les tenanciers des Chaumes de Coleigne).

Avec le temps, les seigneurs pressés par les besoins d'argent, notamment pour leurs frais de représentation à la Cour, se désintéressent de leurs propriétés du haut Forez et multiplient les concessions. Petit à petit, les montagnards deviennent les maîtres de la montagne. Ils le seront d'une façon définitive à la Révolution lorsque, le seigneur disparu, ils seront dégagés de leurs redevances. Mais ce sera aussi la fin de leur communauté pastorale. Libérés de leur dépendance commune envers un même seigneur, les tenanciers se trouveront déliés de toute dépendance mutuelle et n'auront plus besoin de se plier aux règlements et coutumes des grands jas. L'ère de l'individualisme succédera à celle de la communauté.

DES JASSERIES AUX LAITERIES MODERNES

Depuis seulement quelques années, les choses ont à nouveau changé. Les jasseries sont progressivement abandonnées et en passe de devenir "monuments historiques"... Celles ayant conservé leur toit de chaume sont d'une insigne rareté.

Les laiteries modernes ont supplanté l'archaïque "buron" pour la fabrication des fourmes, tandis que, sur la montagne, on en revient aux mœurs pastorales en pratiquant, en grand, l'estive du mouton.

Il n'empêche que l'on éprouve toujours certaine nostalgie pour les jasseries d'autrefois, seule note vivante dans une immensité désertique, oasis de fraîcheur où il faisait bon se reposer au temps, à jamais révolu, où l'on allait contempler le lever du soleil du haut de la croix de Pierre-sur-Haute.

                                                                          Marguerite-V. Fournier

                                                                         Village de Forez, n° 45, janvier 1991

(pour avoir ce texte en format pdf cliquer : Histoire des Hautes Chaumes)

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En 1864, Louis-Pierre Gras raconte son excursion

à Pierre-sur-Haute

Chevalier, Libraire-éditeur à Saint-Etienne


[Extraits pages 45 à 57]













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Notice extraite de :

Essai de classification des monuments pré-historiques du Forez
par L.-Pierre Gras, secrétaire-archiviste de la Diana, p. 34-35

Montbrison, imprimerie-typographique A. Huguet, 19872


Le Bulletin de la Diana évoque l'histoire de Pierre-sur-Haute

tome VII, p. 277-281

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(cliché J. Barou)


Que la montagne est belle !

1904
: Les conquérants
de
Pierre-sur-Haute

Début du XXe siècle : le tourisme est balbutiant en Forez. Rares sont les "étrangers" qui souhaitent découvrir les curiosités locales, sauf quelques originaux. Pour les habitants du pays, cette activité est réservée à ceux - rares - qui ont du temps et de l'argent.

Pierre-sur-Haute constitue pourtant un bel atout pour la région de Montbrison. Avec 1 640 m d'altitude, le point culminant de la Loire offre une nature sauvage, des landes, des rochers, un panorama superbe.

Un certain E. Alexandre a compris le parti qu'on pourrait tirer de la montagne En 1904, il entreprend d'organiser des excursions dans les monts du Forez. Tout commence par une campagne de "réclame" dans l'Avenir Montbrisonnais. Il s'agit d'abord de mettre en valeur le pittoresque des villages montagnards qui sont visités en voiture hippomobile : Essertines, Roche, Lérigneux, Bard. Un modeste circuit qui prend toute une journée.

Puis il s'enhardit à organiser une expédition vers Pierre-sur-Haute. Et se met de vanter aux amateurs les bienfaits d'une telle randonnée : Monter à Pierre-sur-Haute, c'est aérer son esprit, rafraîchir ses bronches des senteurs parfumées du printemps, faire provision de santé et d'énergie . Et tout ça, sans trop grande fatigue et dépense excessive. On ira en voiture puis à pied pour les hommes, à dos d'âne pour les femmes et les enfants… Coût : 12 F pour l'ascension, la voiture, la chambre et deux repas.

La première excursion : la pluie, la pluie…

Après plusieurs reports, la première excursion a lieu le dimanche 27 juin. Rendez-vous est pris à 4 heures de l'après-midi à l'hôtel Barailler à Montbrison. Seulement la moitié des excursionnistes, une petite dizaine, est là car il pleut à seaux : un temps affreux, digne du déluge. Qu'à cela ne tienne ! Le départ a lieu dans la joie, paraît-il. Le trajet est long pour atteindre Saint-Bonnet-le-Courreau. Mais on chante et on plaisante dans la carriole. Et les trois heures semblent trois minutes !…

A Saint-Bonnet-le-Courreau, un copieux et succulent festin est servi à l'hôtel de Jean-Marie Massacrier. A la fin du repas un convive ouvre la fenêtre. Le journaliste-touriste raconte : Merveille ! Pluie, vent, nuages, tout avait disparu. Au ciel la pleine lune souriait à notre excursion et répandait à profusion sa pâle et poétique lumière sur les monts et la plaine…

Aussitôt les voyageurs crient hourrah ! et avant d'aller se coucher jettent quelques feux de Bengale sur la place de l'église. Comportement qui montre d'ailleurs un certain sans-gêne vis-à-vis des habitants du bourg endormi.

Départ à 1 heure du matin

A une heure du matin, départ en voiture pour Sauvain. Un guide prend ensuite en charge la troupe. Un ânon d'un bon caractère admirable est chargé des provisions, des parapluies, des pardessus et de l'appareil photo.

L'ascension commence. Le lever de soleil surprend la caravane avant le passage à Colleigne. Dans une jasserie, les voyageurs goûtent le lait de la montagne. Enfin c'est Pierre-sur-Haute dont une croix marque alors le lieu le plus élevé. Et tous d'admirer : Dans cette solitude élevée ce spectacle solennel et silencieux est très impressionnant.
Après un copieux déjeuner sur les rochers et quelques essais photographiques le retour commence par la vallée abrupte de Chorsin où nous ne conseillerions à personne de se risquer sans guide . A Sauvain un bon repas est servi. Enfin c'est le retour en voiture par une route très agréable à Montbrison-la-coquette. Ouf ! Ils sont sauvés.

Ces premières tentatives sont restées sans suite. C'était assez cher, le trajet n'était pas facile, le mauvais temps pouvait tout gâcher. Et surtout le temps des loisirs n'était pas encore arrivé. Tant mieux pour Pierre-sur-Haute.
Joseph Barou
Sources : L'Avenir Montbrisonnais de mai et juin 1904.

[La Gazette du 21 septembre 2007]


Autres textes en ligne :


Marguerite Fournier raconte :

Il y a 60 ans
: Premières randonnées automobiles à Pierre-sur-Haute (1927-1928)
(format pdf, 2 p.)

Comment naquirent les Journées de la Fourme de Montbrison (1960)
(format pdf, 1 p.)

Dominique Malhaire :

18 août 1985,
première fête des jasseries

(format pdf, 2 p.)

Journal de Montbrison :

Fabrication de la fourme en 1900
(format pdf, 5 p.)


Chanoine Elisée Tarit :


Chorsin et la vallée du haut Lignon
(format pdf, 5 p.)

 

 


(cliché J. Barou)


Jasserie
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Inauguration officielle de la piste
de Pierre-sur-Haute

(26 juillet 1931)

Documents fournis par Georges Démariaux

Les personnalités à Lérigneux


Le banquet du 26 juillet 1931

 
 
 
 

 

La presse locale célèbre l'évènement

Le Montbrisonnais du 25 juillet 1931


Le Montbrisonnais du 1er août 1931




Le Journal de Montbrisonnais du 1er août 1931

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Cartes postales anciennes














le col du Béal



le col du Béal





Bibliographie

 

1 - "Les jasseries et la Fourme de Montbrison", Les cahiers de Village de Forez, Montbrison, n° 3, nov. 2004 (58 pages) :

- Stéphane Prajalas, Les jasseries du haut Forez du XVIIe au début du XIXe siècle.
- Stéphane Prajalas, Une jasserie à la fin du XIXe siècle.
- Maurice Damon, La montagne forézienne et le déclin des jasseries.
- Etienne de Banville, Des jasseries aux groupes industriels : le rôle des familles fromagères dans la diffusion de la fourme.
- Pierre-Michel Therrat, Les instruments de la fabrication de la fourme.

2 - Maurice Damon, "Les jasseries des monts du Forez", Village de Forez, Montbrison, 2004 (133 pages) :

Ce cahier de Village de Forez reprend, sans modification, le texte d'une thèse de doctorat de 3e cycle en sociologie rurale, soutenue par l'auteur en 1971 devant l'université de Lyon et publiée en 1972 par les éditions de l'A.G.E.L., 72, rue Etienne-Richerand, 69003 Lyon.
L'enquête sur le terrain a été effectuée à partir de 1963 ; les documents photographiques datent des étés 1963 et 1964.

Ces ouvrages sont disponibles au Centre Social de Montbrison, 13, place Pasteur, 42600, MONTBRISON
courriel :
c
entresocial.montbrison@laposte.net
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Album
Hautes-Chaumes

"Que la montagne est belle !"

Pierre-sur-Haute

Le coq noir

Champ de gentianes à la Croix du Fossat

(clichés J. Barou)

Fête des fleurs
de montagne..



Ancolie



Arnica



Bois-gentil



Campanule


Digitale



Gentiane


Jonquille

Droséra

   

Croix du Fossat

   
Des bouleaux barbus
à la limite de la forêt...


(cliché J. Barou)

Les grandes solitudes en allant vers Pierre-sur-Haute...



(cliché C. Barou, 15 mai 2016)


(cliché J. Barou)




(cliché J. Barou)



(cliché J. Barou)

 

               


(clichés J. Barou)

 

Panneau de la balade de la vallée de Chorsin
(Musée de la Fourme et des Traditions de Sauvain)

Garnier



(cliché J. Barou)


(cliché J. Barou)

 

Grande Pierre Basane


(cliché J. Barou)


(cliché J. Barou)

Au loin, dans les nuages, Pierre-sur-Haute


(cliché J. Barou)

 


(cliché J. Barou)


(cliché J. Barou)


(cliché J. Barou)


La bazanne

Jasseries

Coq noir vers 1960


(cliché J. Barou)

2010

Le coq noir Jasserie et Musée :
www.coq-noir.fr

 


(clichés R. Gironde)

Fenaisons près de la jasserie du Coq noir
(août 1967)

 

Jasseries des Supeyres








(clichés J. Barou)

Panneau explicatif du Chemin des Colporteurs

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Col des Supeyres

 

Idole au grand cadre

oeuvre monumentale du sculpteur auvergnat Yves Guérin

    

 

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Troupeaux





    Garnier, juillet 2013


(été 2008, cliché J. Barou)

 








(clichés J. Barou)


(clichés J. Barou, 26 juin 2016))


(clichés J. Barou, 26 juin 2016))


Dans le brouillard

(17 juin 2012)


(clichés J. Barou)


(clichés J. Barou)


(clichés J. Barou)

La chapelle de la Nativité
près des burons de la Richarde (1500 m)


juillet 1983


(cliché J. Barou)

mai 2010

(clichés Isabelle Barou)


 

        

                          

 

Côté Forez




(clichés J. Barou)

 

Côté Auvergne





Dans la vallée, au loin, Valcivières...


Valcivières


(cliché J. Barou)

(cliché J. Barou)

Très loin, à l'ouest, la silhouette du Puy de Dôme

Notre-Dame de Renat
(1966)
(cliché J. Barou)





 

 

Arbres et rochers




(clichés Colette Barou)

Garnier : après la neige les jonquilles

(avril 2010)

   

Au loin Pierre-sur-Haute

(Clichés J. et C. Barou)

Jonquilles à Garnier, le 12 avril 2017

(Cliché J. Barou)



Linaigrettes à Garnier, le 11 juin 2017

(Cliché C. Barou)

 

 


conception : David Barou
textes et documentation : Joseph Barou
questions, remarques ou suggestions s'adresser :